Les 100 ans de la théorie de la relativité

En 1905: «Albert Einstein élabore sa théorie de la relativité, que sa femme et ancienne condisciple Mileva Maric (1875 – 1934) met en formules mathématiques dont on remarque l’élégance et la simplicité.

D’origine serbe, elle est venue à Zurich étudier la physique et les mathématiques; elle a épousé son camarade de promotion au Polytchnicum dont elle a reconnu le génie. Ils se sépareront en 1914. Elle restera en Suisse avec leurs deux fils, tandis qu’Albert Einstein émigre aux Etats-Unis.

Quand il recevra le prix Nobel de physique en 1921, il viendra à Zurich lui en remettre le montant, signe de reconnaissance pour leur oeuvre commune» (Le XXème siècle des femmes , Florence Montreynaud, Nathan, 1999, p 54).

Les 100 ans de bécassine

De son vrai nom: Annaïk Labornez, Bécassine est l’héroïne bien connue d’une série dessinée dont le premier numéro parut en 1905 dans «la semaine de Suzette». Elle est la caricature de la petite bonne stupide parfaitement dévouée à sa «maîtresse».

Cette femme célèbre faisait partie d’une catégorie importante de la population active de l’époque, en France: 1 million de domestiques environ en 1906 dont 75% de femmes.

Les «bonnes» de cette époque étaient plus souvent des esclaves que des «employées de maison». Mal payées (20 à 50 francs par mois, alors que les employées de bureau gagnaient environ 20 francs par semaine) elles étaient soumises à des rythmes de travail épuisants puisqu’il fallait être levées avant les «maîtres» et couchées après eux.

De plus la loi de 1906 sur le congé hebdomadaire ne s’appliquait pas aux domestiques.

Cette situation peu enviable s’assortissait souvent d’obligations de type sexuel. La bonne était utilisée pour assouvir les besoins des hommes de la maison. Et en cas de grossesse elle était le plus souvent jetée à la rue sans indemnité et amenée à se prostituer pour survivre.

Au début de leur existence les mouvements féministes n’ont pas montré une très grande solidarité avec ces femmes, qui étaient fort isolées et donc peu organisées.

L’actualité nous montre que encore de nos jours des femmes sont dans des situations semblables, isolées, qui ont quitté leur pays d’origine, pour se retrouver entièrement soumises à des employeurs qui s’apparentent trop souvent à des geôliers. (Le XXème siècle des femmes, Florence Montreynaud, Nathan, 1999, page 52).

175 ans de l’histoire de Belgique

Le comité de PO vous invite à le rejoindre pour visiter l’exposition «Made in Belgium» organisée à l’occasion de l’anniversaire des 175 ans de la Belgique.

Notre visite, organisée par Marie-Christine Exsteyl, sera principalement axée sur les femmes talentueuses qui ont vécu dans le pays depuis son indépendance.

Où? Dexia Art Center, 50 rue de l’Ecuyer à 1000 Bruxelles.

Quand? le samedi 10 septembre 2005 à 15h45 devant le guichet de la billetterie; le prix de groupe revient, par personne, à 8 euros (à partir de 20 personnes); des appareils «audio» sont disponibles pour les personnes qui le souhaitent. La visite complète dure 2 heures à votre libre choix; seuls seront « encadrés» les arrêts devant les portraits de femmes.

Inscriptions: avant le 1er septembre auprès de PO

  • soit par courriel: info@porteouverte.be
  • soit par la poste: P.O. Boulevard Général Jacques, 61, 1050, Bruxelles.

Si nous sommes moins de 20 participant(e)s le prix sera de 10 euros payables à l’entrée de l’exposition. C’est avec grand plaisir que nous vous retrouverons à l’occasion de cet événement unique.

Les différents temps de la vie

Les différents temps de la vie: est-ce que seules les femmes doivent les concilier? Le temps est une ressource très importante. Dans son livre «Le temps des femmes, pour un nouveau partage des rôles», DOMINIQUE MEDA fait remarquer que: «les femmes sont entrées massivement sur le marché du travail depuis les années 70 et qu’elles veulent… obtenir l’égalité professionnelle mais plus encore: du temps pour leur travail …POUR ELLES.» Face à cette révolution notre société ne s’est pas adaptée; nos structures sociales et nos conceptions traditionnelles du partage des rôles sont restées les mêmes, nos mentalités ont peu évolués, nos institutions n’ont pas été réformées…

Il aurait fallu déspécialiser les rôles c-à-d admettre que, si les hommes et les femmes travaillent, alors les tâches parentales, les activités de soin et les tâches ménagères incombent également aux deux sexes – et reconstruire l’ensemble de nos institutions sociales. Nous ne l’avons pas fait; l’habit craque de partout; il faut cesser de le rapiécer et passer à une autre étape».

Le «guide de l’évaluation selon le genre» de la Commission Européenne fait bien ressortir que la répartition des ressources entre les deux sexes est cruciale si l’on veut promouvoir un modèle de société plus équilibré; il s’agit dit-il de mieux répartir: le temps, l’espace, l’information et l’argent, le pouvoir, l’éducation, le travail et la carrière professionnelle, les nouvelles technologies etc. En fait, le non-partage des activités parentales, familiales et domestiques semble bien au coeur de ce qui constitue le rapport fondamental d’inégalité entre les femmes et les hommes; or, ce noyau de l’ancestrale répartition «genrée» des activités résiste tout particulièrement !

Puisque ces tâches sont reconnues comme utiles aux deux sexes et aux sociétés dans leur ensemble, pourquoi ne sont-elles pas partagées ? Pourquoi ne sont-elles pas mieux prises en compte par des dispositifs sociaux et les pouvoirs publics ?

Que faisons-nous pour faire changer quelque chose ? Soyons d’abord conscient-e-s qu’une des conditions sine qua non pour que l’égalité soit possible, est un meilleur partage de la ressource TEMPS.

Geneviève Beney: vous connaissez?

Bien que nous soyons une organisation apolitique, nous sommes choquées que des emploi rémunérés par l’Etat, à savoir avec nos deniers, soient encore et toujours inaccessibles aux femmes! Ainsi, G.Beney a été ordonnée prêtre le mois dernier au cours d’une «cérémonie sauvage» sur une péniche à Lyon pour échapper à toutes représailles.

Les deux derniers papes en date ont rappelé et déclaré comme «infaillibilité papale» l’interdiction pour les femmes d’être ordonnées.

G. Beney a déclaré qu’elle ne cherchait pas la rupture avec l’église mais que la cérémonie était un acte symbolique pour tenter de faire avancer les choses de telle sorte que l’église vive avec son temps. Elle plaide aussi pour l’autorisation du mariage des prêtres; l’évêque de LYON a tonné contre cette cérémonie et déclaré que celle-ci n’avait aucune validité. G.BENEY risque en plus l’excommunication.

Un métier peu commun

L’«Institut français de l’Intelligence économique» a organisé une journée d’études pour faire connaître la place des femmes dans les professions liées à «l’intelligence économique»; celle-ci repose sur l’adhésion à un projet commun et l’aide au partage des connaissances, la communication d’influence au sein d’un groupe ou d’une entreprise constitués par les client-es, salarié-es, actionnaires de celui-ci.

Une professionnelle de l’IE expliquait à cette occasion que les femmes jouent un rôle capital dans ce métier car, d’après les psychologues, elles se situent plus dans une logique de contribution que de pouvoir. Elles seraient donc meilleures fédératrices de connaissances et auraient plus d’intégrité que les hommes dans la démarche, ayant besoin d’adhérer à la cause des dossiers qu’elles prennent en charge.

Campagne pour les femmes dans la logistique

Parlons pour une fois du travail des femmes en FLANDRE: le fonds sectoriel «Transports» organise avec la collaboration du VDAB et de l’ASBL FLORA une préformation et formation destinées au secteur des transports et plus précisément pour les fonctions de préparatrice de commandes, de caristes ou de conductrice de chariot élévateur.

Ce projet s’accompagne d’une campagne de sensibilisation pour toute la FLANDRE avec un slogan humoristique et un jeu de mots.

La campagne cherche ouvertement à valoriser des compétences considérées comme traditionnellement féminines dans un environnement de travail majoritairement masculin. Les titres des affiches attirent avec des phrases comme: «Tu as l’habitude …de faire attention aux petits»; «tu as l’habitude… DE DEPLACER DES MONTAGNES»; «tu as l’habitude …de manoeuvrer».

Le but est de faire comprendre aux femmes qu’elles disposent des capacités techniques nécessaires pour exercer ce type de fonctions et qu’elles y sont aussi à leur place.

Les hoministes

Un journal de MONTREAL publiait il y a peu un article concernant les anciens «masculinistes» qui veulent maintenant se faire appeler «hoministes».

Conduits par le psychologue et sexologue canadien, Yvon DALLAIRE , ils ont créé un réseau très efficace dans le marketing même jusqu’en Europe pour réagir à des «demandes peut-être exagérées» des féministes.

Il cite en exemple la propension à diaboliser la compétition, le préjugé favorable à la femme en cas de litige sur la garde des enfants, le peu de cas fait de la violence conjugale qui affecte les hommes, la pression exercée sur les hommes en matière de sexualité, déclarant par exemple que: «ce ne sont pas les hommes qui souffrent d’éjaculation précoce mais ce sont les femmes qui souffrent d’orgasmes retardés».

Il décrie «l’excès du discours féministe « qui consiste à «associer l’égalité à la similarité, à «essayer de faire disparaître les différences entre les hommes et les femmes»; il déclare que «si la nature nous a faits bisexués c’est pour accomplir des tâches complémentaires».

Notre réaction en bref c’est de dire: quel simplisme et quelle mauvaise foi!

Appel à témoignages

En vue d’éditer une plaquette à la mémoire d’Adèle Hauwel nous recherchons des témoignages écrits de personnes qui ont connu Adèle.

Ecrivez nous vos souvenirs sur votre rencontre et sur vos relations avec elle et joignez y éventuellement des photos de vous avec ou sans Adèle.

Merci d’avance.

Dans votre agenda: Confêttia 16-17 octobre 2005 24h de Solidarité Mondiale des Femmes

Le 17 octobre prochain, Journée mondiale contre la pauvreté, sera le jour par excellence pour l’apothéose autour du globe de la Marche Mondiale des Femmes (MMF) 2005. Devise de l’action MMF: 24 heures de Solidarité Mondiale des Femmes. L’action débute en Océanie, suit les fuseaux horaires et se déclenche à Bruxelles le 17-10 à 12 h. devant la Bourse (bld Anspach), symbole de «l’Argent face à la Pauvreté».

Le dimanche 16 octobre le coup d’envoi sera donné à Bruxelles par le Festival des Femmes «CONFETTIA», co-organisé par la MMF, les 2 Conseils des Femmes (fêtant leur Centenaire) et le Vrouwen Overleg Komitee. Lieux du Festival: Palais des Beaux Arts (Bozar), Bibliothèque Royale, Galerie Ravenstein (stands, entre Bozar et Gare Centrale) et certaines rues de Bruxelles Ville comme parcours d’une Marche des Femmes de 15-17 h. Rassemblement: Mont des Arts, r. Ravenstein, à 14h30.

Au programme de CONFETTIA (10-18 h) par exemple: Les Femmes du Sud en Marche, interaction alimentation, économie et santé des femmes (Bozar, 11-12h30, bilingue) bu200006_1.html bu200006_2.html bu200006_3.html bu200006_4.html bu200006_5.html bu200006_6.html bu200006_7.html bu200006_8.html bu200008_1.html bu200008_2.html bu200008_3.html bu200008_4.html bu200008_5.html bu200009_1.html bu200009_2.html bu200009_3.html bu200009_4.html bu200009_5.html bu200009_6.html bu200009_7.html bu200010_1.html bu200010_2.html bu200010_3.html bu200010_4.html bu200010_5.html bu200010_6.html bu200010_7.html bu200011_1.html bu200011_2.html bu200011_3.html bu200011_4.html bu200011_5.html bu200011_6.html bu200012_1.html bu200012_2.html bu200012_3.html bu200012_4.html bu200012_5.html bu200012_6.html bu200102_1.html bu200102_2.html bu200102_3.html bu200102_4.html bu200102_5.html bu200103_1.html bu200103_2.html bu200103_3.html bu200103_4.html bu200103_5.html bu200103_6.html bu200103_7.html bu200103_8.html 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CONFÊTTIA est gratuit, à l’exception du concert de 18-20 h au Bozar: 7,50 euros, prévente Bozar.

Pour informations détaillées: www.confettia.be, ou tél. 02-229.38.14, fax 02-22938.06 Informations sur activités en Belgique MMF + Charte MMF: www.marchemondialedesfemmes.be.