Mais il reste des chasses gardées…

Si aux Etats-Unis, 84% des sociétés répertoriées à l’indice boursier S&P 500 affichent au moins une femme parmi leurs hauts dirigeants, près de la moitié de 150 sociétés de la Silicon Valley n’en ont aucune. Les glorieuses exceptions, telles Sheryl Sandberg, directrice opérationnelle chez Facebook depuis 2008 et auteure de «En avant Toutes», en 2013, de Meg Whitman, pédégère de Hewlett-Packard depuis 2011 ou de Marissa Mayer, à la tête de Yahoo depuis 2012, n’y ont rien changé. La plupart des sociétés de la hi-tech refusent même de divulguer des statistiques concernant leurs salariés ou la proportion de femmes et de minorités dans les postes à hautes responsabilités.

Source: www.tv5.org/…

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