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Archives des mots-clés: Ginette

«Pecephobie», une publicité gouvernementale sexiste

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Novembre 2005. Ce n’est pas une révélation: nous assistons actuellement au retour du sexisme, sous une forme plus insidieuse que le sexisme autoritaire des siècles précédents, où les machistes prenaient moins de gants «culturels» ou pseudo-scientifiques. Un exemple particulièrement peu subtil de ce retour en arrière nous arrive par l’actuelle … Poursuivez votre lecture

Taggé   Ginette, publicité, sexiste
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  • Éphémérides

    • 1953

      Grande-Bretagne - Décès à Hitchin le 9 juillet 1953 d'Annie KENNEY (née à Springhead près d'Oldham le 13 septembre 1879). Ouvrière dans une usine de coton dès l'âge de dix ans, elle fut une militante active du mouvement des suffragettes. Comme ses soeurs, elle suivit des cours du soir. Elle fut, avec Christabel PANKHURST, la première suffragette à subir une peine d'emprisonnement.

      Parlant de son expérience personnelle de la condition féminine, Annie KENNEY disait en 1908 : "(dès mon enfance), je constatai la grande différence faite à l'usine entre les homnes et les femmes ; cette différence se rapporte aux conditions de travail, à la rémunération et au prestige. Je constatai aussi que cette différence n'existait pas seulement à l'usine mais aussi au foyer. Je voyais les hommes et les femmes, les garçons et les filles peiner tout le jour dans la même usine surchauffée. Mais lorsque le travail était terminé, je constatais que c'étaient les mères qui se hâtaient vers la maison, qui allaient chercher les enfants placés chez une gardienne, qui faisaient du thé pour leur mari, nettoyaient, cuisinaient, lessivaient, cousaient et soignaient les enfants. Je constatai que, lorsque le mari revenait à la maison, sa journée de travail était terminée; il prenait son thé et sortait pour rejoindre ses amis au club ou sur le terrain de cricket ou de football. Je me demandais pourquoi il en était ainsi. Pourquoi la mère était-elle l'esclave de la famille et non pas la compagne et l'égale du père?".

      On peut encore hélas faire souvent les mêmes réflexions aujourd'hui.

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