Environ un tiers de la première génération de femmes d’origine turque ou marocaine sont actives professionnellement avant la naissance de leur premier enfant, contre 80% des femmes sans origines étrangères. La différence peut être due à leur moindre qualification et à la discrimination qu’elles subissent. Après le congé de maternité, la plupart des femmes qui travaillaient avant leur accouchement retournent au boulot, mais privilégient davantage le travail à temps partiel. Contrairement à certaines idées reçues, ces constats valent autant pour les femmes allochtones qu’autochtones.
Source: Céline Bouckaert, www.levif.be/…