Faut-il crucifier les militantes féministes aux seins nus?

Le dimanche 2 décembre 2012, Pascal De Sutter publiait dans Le Vif un article particulièrement intéressant où il montre des liens entre féminisme, démocratie, libertés et, à l’opposé, entre fanatisme, intolérance, violence. «Des jeunes femmes [Femen] remettent au goût du jour une forme de militantisme féministe spectaculaire. Elles organisent des manifestations agressives avec des slogans blasphématoires et provocateurs. Alléluia! […]»

Comme le soutiennent certaines militantes féministes, la nudité féminine, la tolérance sexuelle et le droit au blasphème sont des symboles fondamentaux de la liberté démocratique. Et il semblerait que la sociologie et la psychologie leur donnent raison. Dès le XVIIIe siècle, les anthropologues avaient observé que les cultures du Pacifique, où existaient les plus grandes libertés sexuelles et religieuses, étaient aussi les plus paisibles et les plus égalitaires. A contrario, les sociétés humaines machistes et répressives sur le plan sexuel étaient les plus violentes. Cela s’observe toujours aujourd’hui. Lire la suite (vraiment recommandé!) sur Le Vif.

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