La Belge Diane Meur vient d’être mise à l’honneur en remportant le prix Rossel et le Rossel des jeunes. Son roman «Les vivants et les ombres» (Editions Sabine Wespieser) montre une force, une volonté et un acharnement dans l’écriture; outre d’autres romans elle rédige également des traductions littéraires principalement provenant de la langue allemande.
Elle regrette toutefois de ne pas «pouvoir travailler autant qu’elle le voudrait pour cause de «contraintes familiales» de mère de 3 enfants… Même ici, nous devons constater la persistance du même schéma ou du même conditionnement en défaveur des femmes… faut-il en venir à prôner la dénatalité pour permettre aux talents des femmes de pouvoir mieux s’exprimer…