Pas sur le fond, bien sûr! Mais sur la forme ? Remplacer cette expression qui ne désigne que la moitié de la population par «droits humains», comme au Canada, en Suisse et en Haïti. C’est ce que réclame le collectif Droits humains pour tout-e-s. Eliane Viennot, auteure de «Non, le masculin ne l’emporte pas sur le féminin, petit histoire des résistances de la langue française» explique que quand, dès 6 ans, on entend que le masculin l’emporte sur le féminin, ça crée de l’inégalité. Divers préjugés s’opposent fréquemment au changement d’expression vers les droits humains; un site vous aide à les déconstruire: Préjugés qu’on vous oppose systématiquement.
Source: Droits humains pour tou-te-s