Sous la pression de parlementaires italiens et irlandais, un rapport de la Commission des questions sociales, de la santé et de la famille, demandant de réglementer l’objection de conscience en matière de refus de pratiquer un avortement ou de donner des soins à des femmes de milieux modestes, a été dénaturé. Le 7 octobre la résolution européenne votée préconise dorénavant que:«nul hôpital, établissement ou personne ne peut faire l’objet de pressions, être tenu responsable ou subir des discriminations d’aucune sorte pour son refus de réaliser, d’accueillir ou d’assister un avortement, une fausse couche provoquée ou une euthanasie, ou de s’y soumettre, ni pour son refus d’accomplir toute intervention visant à provoquer la mort d’un fœtus ou d’un embryon humain quelles qu’en soient les raisons»
http://www.ufal.info/feminisme-et-laicite/droits-des-femmes-un-retournement-honteux…