Avant les élections du 14 octobre, seulement 9% des bourgmestres belges étaient des femmes, une représentation minoritaire d’ailleurs perceptible à tous les niveaux de pouvoir (en respectant l’insupportable «plafond de verre»): 30,7% d’échevines et 35,1% de conseillères communales en Belgique.
Après, que peut-on dire? À Bruxelles, chute libre: alors que 13 % des bourgmestres bruxellois durant la législature précédente étaient des femmes, il n’y en a désormais plus qu’une qui occupera un siège maïoral, Françoise Schepmans, à Molenbeek. La politique communale reste un bastion masculin