Un journal de MONTREAL publiait il y a peu un article concernant les anciens «masculinistes» qui veulent maintenant se faire appeler «hoministes».
Conduits par le psychologue et sexologue canadien, Yvon DALLAIRE , ils ont créé un réseau très efficace dans le marketing même jusqu’en Europe pour réagir à des «demandes peut-être exagérées» des féministes.
Il cite en exemple la propension à diaboliser la compétition, le préjugé favorable à la femme en cas de litige sur la garde des enfants, le peu de cas fait de la violence conjugale qui affecte les hommes, la pression exercée sur les hommes en matière de sexualité, déclarant par exemple que: «ce ne sont pas les hommes qui souffrent d’éjaculation précoce mais ce sont les femmes qui souffrent d’orgasmes retardés».
Il décrie «l’excès du discours féministe « qui consiste à «associer l’égalité à la similarité, à «essayer de faire disparaître les différences entre les hommes et les femmes»; il déclare que «si la nature nous a faits bisexués c’est pour accomplir des tâches complémentaires».
Notre réaction en bref c’est de dire: quel simplisme et quelle mauvaise foi!