C’est la revue POPLINE ( sept-oct. 2002) qui nous l’apprend :dans les camps de réfugiés, on sait que souvent les femmes «seules» (qui n’accompagnent pas un homme) sont invisibles et non répertoriées pour la distribution des vivres pour elles et leurs enfants. Certaines femmes sont, elles, bien répertoriées : ce sont les fillettes qui n’ont pas encore subi de mutilations sexuelles rituelles et qui y sont soumises avant de partir pour le pays de destination finale où ces opérations sont prohibées.
La condition faite aux femmes est un tout : de la violence physique à la discrimination.