Une des explications qu’on donne au sujet de la répartition des hommes et des femmes dans le métier d’ingénieur(e) et dans les disciplines scientifiques en général, est que les jeunes filles qui suivent dans leurs études secondaires des filières fortes en mathématique et en sciences se dispersent ultérieurement dans diverses options alors que la majorité des jeunes gens se concentrent dans les branches scientifiques dans leurs études ultérieures.
On dirait que la femme soit une cible privilégiée pour les antiféministes. C’est ainsi qu’on se rappellera que le meurtrier de quatorze femmes à l’école polytechnique de Montréal le 6 décembre 1989 visant expressément des femmes «sortant de leur rôle» et ce féminicide professait ouvertement des idées antiféministes. Ce drame a eu pour effet de faire modifier la législation du pays sur les armes à feu mais les antiféministes sont-ils pour autant désarmés ?