Une série d’organisations de ce groupe ont exprimé leur inquiétude face à la tendance de leurs gouvernements à utiliser des arguments basés sur la religion, la culture, la tradition pour justifier les violences faites aux femmes et permettre la violation de leurs droits fondamentaux. Elles affirment que ces positions ne sont pas représentatives de l’opinion de la société civile. Elles critiquent le fait que nombre de leurs gouvernements prennent des positions qui sapent la base de la Déclaration universelle des droits humains. Elles ont lancé un appel à leurs Gouvernements, comportant une dizaine de revendications en vue de faire évoluer leurs positions.
Comme quoi le monde arabe n’est pas monolithique. Mais clairement, les Frères musulmans ne les ont pas suivies (cf. ci-dessus).
Source: www.wluml.org