Le temps partiel, c’est mauvais pour le moral

Le temps partiel subi est facteur de syndromes dépressifs. C’est la principale conclusion d’une étude publiée par l’INVS et réalisée entre 2002 et 2003. Le rapport entre temps partiel et dépression n’est pas forcément nouveau. Par contre, la distinction entre le temps partiel subi et choisi est une première. L’enquête montre que les syndromes dépressifs sont particulièrement forts en cas d’activité partielle subie par le travailleur: 11,2% des personnes interrogées déclarent ainsi souffrir de ces troubles.

Voir Le Figaro du 24 février 2010

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