Le féminisme à l’heure de la guerre globale

Dans le cadre du festival littéraire de Passa Porta, à Bruxelles, l’écrivaine égyptienne Nawal El Saadawi fut interrogée, avec un point de vue féministe, par Sarah Bracke (KUL) et Stéphanie Loriaux (ULB). Elle partagea sa vision d’un monde en chantier.

Elle déclara notamment «les femmes qui croient se libérer en se voilant sont trompées par un oppresseur. Se libérer n’est pas une question de vêtement! Les oppresseurs contrôlent nos esprits par des idées fausses, comme les «identités». Les identités (sexe, religion, ethnie, … ) sont des prisons. Tenter d’atteindre une identité «pure» est une forme de racisme»? «Le vrai pouvoir réside dans la connaissance». «La liberté est un état d’esprit, elle ne se situe ni sur la peau, ni dans les cheveux? et le maquillage moderne n’est en fait qu’un «voile» moderne»!

A liremais en anglais: womensspace.wordpress.com

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