À l’occasion de la présidence belge de l’Union européenne

notre ministre de l’Emploi et du travail chargée de l’égalité des chances entre hommes et femmes a organisé une session d’études concernant le travail des femmes.

Des sommités, des responsables y ont fait des exposés et ont communiqué les résultats de leurs travaux qu’il est impossible de résumer ici. on y a souligné, par exemple, que les écarts de salaires entre hommes et femmes pour un travail égal est plus marqué aux échelons inférieurs et supérieurs de la hiérarchie professionnelle qu’aux niveaux moyens, on y a souligné la responsabilité non seulement de l’état mais aussi celle de partenaires sociaux dans le processus d’égalité entre les hommes et les femmes, la nécessité de revoir l’évaluation des tâches pour établir l’égalité des salaires entre hommes et femmes et on a stigmatisé les effets néfastes de la ségrégation des travailleurs et des travailleuses pour l’égalisation des salaires.

La ministre a rappelé dans « Le fil d’Ariane » la nécessité de voir entrer un plus grand nombre de femmes dans les métiers masculins, c’est-à-dire « occupés » par une majorité d’hommes.

L’Europe entend, dans les années à venir, voir s’amplifier l’emploi des femmes.

Ceux et celles qui se sont usé(es) dans la militantisme féministe reconnaîtront que les travaux scientifiques du troisième millénaire confortent les revendications que les penseures du féminisme ont exprimées depuis des décennies.

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